Glossaire

Page dédiée au vocabulaire utilisé sur le blog. Si nous en avons oublié signalez-le nous. Les termes anglais sont en italique. Les définitions sont parfois simplifiées par rapport aux définitions comptables complètes.encycl_rogné

Bilans

Toutes ces valeurs peuvent s’exprimer par action (per share en anglais) ou non.

  • Fonds propres = Actifs totaux – dettes totales = Actifs nets (de toutes dettes). Anglais : Book value, ou Equity.
  • Dettes. Dans ce blog, on appelle dettes totales, l’ensemble des dettes, financières ou non, long terme (> 1 an) et court terme (< 1 an). Selon les normes de la finance, les dettes financières, sont les seules dettes financières long terme et court terme : dettes bancaires ou auprès des marchés, et comptes courants d’associés.
  • Clients = créances clients.
  • Fournisseurs = dettes fournisseurs.
  • VANT = Valeur d’Actifs Net Tangibles = Actifs totaux – actifs intangibles – goodwill – dettes totales. Anglais :  Tangible book value. Parfois l’appelation “Actifs intangibles” englobe aussi le Goodwill.
  • VANN = Valeur d’Actifs Net-Net = Actifs courants – dettes totales. Selon les adeptes de Ben Graham c’est une valeur minimale de l’entreprise.  On peut aussi le voir comme une façon mécanique d’avoir une estimation grossière de la Valeur liquidative. Anglais :  NCAV = Net Current Asset Value.
  • NNWC  = Net Net Working Capital = Trésorerie et équivalent + 0,75 x clients + 0,5 x stock – dettes totales. C’est une autre estimation de la valeur minimale de l’entreprise ou de la Valeur liquidative.
  • Valeur liquidative = Valeur à la Casse = Liquidation value. Estimation de la valeur que l’on pourrait retirer en cas de mise en vente volontaire de tous les actifs, de laquelle on déduit l’ensemble des dettes à rembourser. On somme pour cela les actifs du bilan affectés chacun d’une décote à estimer (sur des machines la décote est quasiment de 100 %, sur le cash elle est le plus souvent nulle) et on retranche l’ensemble des dettes : Valeur liquidative = trésorerie + a x clients + b x stocks + c x PPE – dettes totales, où a, b, c sont 3 coefficients inférieurs ou égaux à 1. Personnellement, sauf renseignements particuliers, je prends : Valeur liquidative = trésorerie + 0,9 x clients + 0,3 x stocks + 0,7 x PPE – dettes totales.
  • VRA = Valeur de Renouvellement des Actifs. Ce que paierait un concurrent potentiel pour rentrer sur le marché c’est-à-dire pour se procurer des actifs identiques. On somme pour cela les actifs du bilan affectés chacun d’une décote ou surcote à estimer, on retranche les dettes totales éventuellement affectées d’une décote.
  • NAV = Net Asset Value = Actifs totaux  – Dettes totales. C’est donc les fonds propres, mais pour être plus précis, dans le vocabulaire britannique il y a 3 acceptations du terme : 1. Pour les fonds, la NAV est la valeur de marché des participations moins les dettes. 2. Pour les sociétés immobilières, la NAV correspond à l’actif ré-évalué à la valeur de marché privé moins les dettes, c’est-à-dire à ce qu’on appelle l’ANR en France (Actif Net Réévalué). 3. Pour toutes les autres sociétés, la NAV désigne la book value, ou equity, ou fonds propres (éventuellement sans les intangibles, cela dépend des gens). C’est-à-dire la valeur des actifs telle qu’inscrite aux comptes moins les dettes. Souvent la NAV est exprimée par action.
  • EV Enterprise Value = VE = Valeur d’Entreprise = capitalisation  + dettes financières – cash et équivalents + max(0,dettes opérationnelles courantes – actifs opérationnels courants) + autres dettes non opérationnelles (valeurs des intérêts minoritaires, pensions non financées, actions préférentielles) – valeur des filiales mises en équivalence. Une société à EV < 0 est grosso-modo une société qui cote donc sous son cash net de toutes les dettes financières. En savoir un peu plus ici et . Un backtest de la performance des EV < 0 est donné .
  • Trésorerie = cash = liquidités.
  • Trésorerie nette = cash et équivalents – dettes financières à court terme. Les équivalents de cash sont les placements financiers rapidement convertibles en cash : fonds monétaires, placements mobiliers liquides, etc.
  • Endettement net = Dettes financières nettes = dettes financières  – cash et équivalents.
  • Cash net = situation financière nette = cash et équivalents – dettes financières totales. C’est l’opposé de l’endettement net. Le terme “cash net” est une appellation personnelle, alors que la “situation financière nette” est le terme comptable approprié. A ne pas confondre (mais on le fait souvent) avec le terme comptable de “trésorerie nette”, défini plus haut.
  • Cash net de toutes dettes = cash et équivalents – dettes totales.
  • Affacturage (factoring en anglais) = technique de financement et de recouvrement de créances consistant à obtenir un financement anticipé et à sous-traiter cette gestion à un établissement de crédit spécialisé : l’affactureur ou, en anglais, factor (Wikipedia). Pratiquement, les créances clients sont donc transformées en cash moyennant quelques frais. Personnellement, je considère donc l’affacturage comme une avance de trésorerie. Je transformerai donc, dans mes évaluations, la trésorerie correspondant aux affacturages en créances clients (voir article Vidélio). De même, je transformerai les avances et acomptes de commandes en créances clients (voir discussion dans l’article Gévelot II, où je n’ai pas fait ça). Pour le cash net par exemple, cela revient à le définir comme : cash net = trésorerie et équivalents – dettes financières long et court terme – affacturage – avances et acomptes de commandes.
  • PPE = Property, plant and equipment = immobilisations corporelles = Immobilier, usines, terrains, équipements.

Ratios d’endettement

  • Solvabilité = Fonds propres / Actifs = 1 – Dettes / Actifs. Mesure la situation de dettes par rapport aux actifs. Une solvabilité de 100 % signifie qu’il y a 0 dettes au bilan, une solvabilité de 0 signifie que les fonds propres sont nuls.
  • Ratio de liquidité = Actifs courants / Passifs courants. Mesure la capacité de la société à faire face à ses dettes de court terme à l’aide de ses actifs courants. Doit la plupart du temps être supérieur à 1, voire 2 pour une entreprise industrielle.
  • Quick ratio ou Ratio de liquidité réduite =  (Actifs courants – Stocks) / Passifs courants. Mesure la capacité de la société à faire face à ses dettes de court terme à l’aide de ses actifs immédiats. Un ratio supérieur à 1 est bienvenue.
  • Gearing = Dettes financières à plus d’un an / Fonds propres.

Fonds de roulement

  • FR = fonds de roulement = capitaux permanents  (fonds propres + dettes financières long terme + provisions) – actifs immobilisés = actifs courants – dettes courantes. Si FR > 0 la société a suffisamment de capitaux permanents pour financer ses immobilisations.
  • BFR = besoin en fonds de roulement = actifs circulant (ou opérationnels, c.à.d. stocks + créances clients) – dettes circulant (dettes fournisseurs + dettes fiscales + dettes sociales + autres dettes non financières) = FR – trésorerie. Si BFR > 0 l’entreprise doit financer ses besoins à court terme soit à l’aide de son excédent de ressources à long terme (fonds de roulement), soit à l’aide d’emprunts financiers à court terme.
  • dBFR = \Delta BFR = BFR (année n) – BFR (année n-1). Je l’appelle parfois “l’augmentation de BFR” de sorte qu’un signe négatif de cette quantité correspond à une diminution du BFR.

Résultats(1)

  • CA = chiffre d’affaires = revenue = sales.
  • DA = D&A = Dépréciations et amortissements = depreciation and amortisation. Pertes non cash qui consistent à diminuer la valeur comptable d’un actif.
  • DAP = Dépréciations, amortissements et provisions. Dans le blog, cette notation désigne plus exactement les DAP sur actif non courants, et nets de reprises  : DAP = dotations aux DAP (sur actif non courants) – reprises de DAP (annulation d’une partie des DAP des années précédentes) .
  • EBE = Excédent brut d’exploitation = Gross operating profit  = Résultat net + DAP + intérêts + impôts. On a aussi EBE = REX + DAP où les DAP sont nets de reprises. Marge brute d’exploitation = EBE/CA.
  • EBITDA Earnings before interest, taxes, depreciation and amortisation = Produits – charges d’exploitation = ventes – couts (y compris administratifs et R&D) = EBE – provisions d’exploitation (= sur actifs circulants) . Dans la pratique, je confonds souvent EBITDA et EBE. On a aussi EBITDA = REX + DAP(TFT) où les DAP sont nets de reprises et de provision d’exploitation, et sont à prendre dans le TFT.
  • REX = résultat d’exploitation = résultat opérationnel = Operating income = EBE – DAP.  Marge d’exploitation = EBE/CA.
  • EBITA Earnings before interest, taxes and amortisation = EBITDA – D (dépréciations).
  • EBIT = Earnings before interest and taxes = EBITDA – DA  = REX.
  • ROC = Résultat opérationnel courant = EBIT + charges opérationnelles non courantes (p.ex. perte de valeur de goodwill)
  • Résultat courant = résultat d’exploitation + résultat financier. Avec :
  • Résultat financier = produits financiers – charges financières (intérêt des emprunts, dépréciations d’actifs financiers, pertes de change…)
  • RN = Revenu net, ou bénéfice net.
  • BNPA = BPA = Bénéfice net par action = Bénéfice net / Nombre d’actions.  Anglais : EPS, earning per share.
  • ROEreturn on equity = rentabilité des capitaux propres = résultat net / capitaux propres (en savoir un peu plus ici).
  • ROA = return on assets = rentabilité des actifs = résultat net / actifs totaux (en savoir un peu plus ici).
  • ROIC = return on invested capital  = rentabilité sur capitaux investis = résultat net / capitaux investis. Avec, par définition : Capitaux Investis = capitaux qui travaillent = Actifs – trésorerie – dettes non financières = Fonds propres + dettes financières nettes.

Flux de trésorerie

  • TFT = tableau de flux de trésorerie.
  • MBA = marge brute d’autofinancement = cash issu des opérations hors variation de BFR = cash issu des opérations + dBFR = Résultat net après impôts + DAP = FCF + capex +dBFR. Proche de l’EBITDA.
  • CAF = capacité d’autofinancement = Résultat net + DAP(2) = très proche de la MBA (“la MBA considère les dotations sur actifs circulants net des reprises comme une charge monétaire. Ce faisant, contrairement à la CAF, la MBA se révèle dépendante de la politique de provision”, Wikipedia). Proche de l’EBITDA : CAF = EBE + résultat financier + résultats exceptionnels – impôts sur les bénéfices + autres.
  • Capex = capital expenditure = dépenses d’investissement. Sortie de cash réelle pour l’investissement. Si la société était à l’état stationnaire on devrait avoir Capex = DAP mais cela n’arrive jamais.
  • CF = Cash flow = flux net de trésorerie généré par l’activité. Il s’agit, dans le cadre de son activité opérationnelle (c’est-à-dire hors poste de financement), du cash généré par l’entreprise, moins le cash consommé, hors investissements. Il se calcule par CF = Résultat net + DAP – dBFR = CAF – dBFR. Proche de EBITDA – dBFR.
  • FCF = Free cash flow = flux de trésorerie libre. Il s’agit, dans le cadre de son activité opérationnelle (c’est-à-dire hors poste de financement), du cash généré par l’entreprise moins le cash consommé. On dit aussi que c’est la variation de cash disponible pour l’actionnaire parce que cela correspond au cash qui pourrait être  versé sans nuire à l’activité. Il se calcule par FCF = CAF – dBFR – capex = CF – capex. Equivalent à FCF = EBITDA – dBFR – capex – IS sur la CAF = REX + DAP – dBFR – capex – IS sur la CAF (cf. Wikipedia : Free cash flow et Flux de trésorerie).
  • FCF (hors dBFR) = CAF – capex. Je préfère le plus souvent considérer cette version du FCF parce que la variation de BFR est rarement pérenne.

Ratios de valorisation

  • P/E = PER = price / earnings  = price earnings ratio = cours de bourse / BNPA = capitalisation / RN. Le plus connu des ratios de valorisation.
  • P/FCF = capitalisation / free cash flow. Le cash réellement gagné rapporté au montant investi par l’actionnaire. Un de mes ratio préféré, car il mesure mon retour sur investissement. Un P/FCF de 2, me donne un retour de 50 % par an. Là aussi, j’utilise le FCF hors variation de BFR.
  • EV/EBITDA = VE/EBE (à peu près). Ce ratio est un des plus employé pour valoriser les entreprises lors de leurs rachats, aussi bien pour les sociétés cotées que dans le private equity. C’est pour cela que c’est un de mes préférés. Il dépend du secteur d’activité. L’avantage de l’EV est qu’il s’agit du prix de la partie productive de l’entreprise (hors cash ou emprunt).
  • EV/FCF = ratio rarement utilisé mais que j’aime bien connaître à des fins de complétude d’estimation.
  • EV/RN = idem.

Autres

  • Loyers en IFRS 16 : les nouvelles normes financières, appelées IFRS 16, imposent de comptabiliser les loyers : 1. Au bilan, d’un actif au titre du droit d’utilisation et d’un passif au titre des loyers futurs. 2. Au compte de résultat, il n’y a plus de charges de loyers relatives à ces contrats, mais des dotations aux amortissements en résultat opérationnel. Les charges financières d’intérêts sur les dettes de loyer sont comptabilisées sur la ligne Cout de l’endettement financier net. 3. Dans le tableau des flux de trésorerie, le paiement des loyers auparavant présenté au sein des flux liés aux activités opérationnelles est présenté en flux liés au financement sous la forme d’un remboursement de dette de loyer et d’intérêts financiers versés. Il faut donc décompter les loyers de l’EBITDA et du FCF tels que calculés plus haut, c’est-à-dire faire (voir discussion dans l’article Vidélio)
    • EBITDA = REX + DAP- loyers (et intérêts sur dettes de loyers)
    • FCF = CAF – capex – loyers (et intérêts sur dettes de loyers).

    Dans les cas où il s’agira d’un crédit-bail, je considèrerai cela comme un capex de croissance dans la mesure où ce versement n’est pas à fond perdu et surtout n’est pas éternel.

  • Value : stratégie d’investissement qui consiste à faire l’analyse fondamentale d’une société en se basant sur les éléments comptables et industriels à la date de l’analyse, pour estimer sa valeur intrinsèque, et à l’acheter moins cher que cette valeur (article ici).
  • Deep value : sous-catégorie de la value. Stratégie d’investissement qui consiste à  s’intéresser aux valeurs très décotées y compris par rapport à des estimations prudentes de valeur (article ici).  Elles peuvent être par exemple des estimations de valeur liquidative des actifs nets.
  • Retour sur mon investissement, rentabilité de mon investissement : lorsque j’achète une société parce qu’elle est très rentable, le critère principal qui m’intéresse est “combien cette société gagne par rapport à ce que je la paye ?” C’est ce que j’appelle le retour, ou la rentabilité, de mon investissement. Je le mesure avec les bénéfices nets et les free cash flows. Un P/E ou un P/FCF de 2, me donne par exemple un retour de 50 % par an.
  • OPRA : offre publique de rachat d’actions. Se dit lorsqu’une entreprise propose de racheter ses propres actions en bourse à un prix donné. L’intérêt d’une telle opération est que le capital de l’entreprise diminue, ce qui augmente mécaniquement le bénéfice net par action (BNPA) et la valeur par action. L’autre avantage est que cette opération fait augmenter mécaniquement le cours de l’action, et permet de redonner aux actionnaires qui vendent leurs titres, une partie de la trésorerie (d’après Wikipédia).
  • Dilutif / relutif : se dit d’une opération capitalistique qui a tendance à diminuer/augmenter la part d’entreprise détenue par une catégorie d’actionnaires. Si le cours d’émission est inférieur à la valeur estimée de la société, alors émettre des actions est dilutif pour les actionnaires existants. Dans la même configuration, un rachat et une annulation d’actions est relutif.
  • Net-net : désigne une société qui cote sous sa VANN.
  • Triple net : terme des Daubasses qui désigne une entreprise dont les actifs courants nets des dettes totales sont supérieures au cours. C’est une notion similaire à EV<0 mais encore plus stricte car on compte toutes les dettes et pas seulement les dettes financières.
  • Ytd = year to date = depuis le début de l’année.
  • Bull / Bear = haussier / baissier. Jargon financier qui caractérise le sens anticipé de l’évolution d’un marché ou d’un titre. Ce vocabulaire vient du fait qu’en combat, le taureau (bull en anglais) attaque avec ses cornes de bas en haut, tandis que la patte de l’ours (bear) effectue un mouvement du haut vers le bas.
  • PV / MV = plus-value / moins-value. S’exprime en absolu (devise) ou en relatif ( %).
  • PRU = Prix de Revient Unique. Moyenne des coûts de revient d’une ligne de titres boursiers. Comprend en général les frais et taxes de transactions.
  • Performance d’un portefeuille, valeur de la part, et TRI : voir article.
  • TPI = Titre au Porteur Identifiable. Opération qui permet à une société d’avoir connaissance des noms et nombre de ses titres possédés par les investisseurs.
  • REIT = Real Estate Investment Trust. Acronyme utilisé aux US, UK et Canada, désignant une société de location immobilière qui bénéficie d’une fiscalité spéciale et redistribue l’essentiel de ses revenus aux actionnaires. C’est l’équivalent des SIIC en France.
  • Initié = insider = personne qui possède des informations privilégiées sur l’intérieur de la société. Il s’agit en général d’un membre de la direction ou du conseil d’administration.
  • M€ = million d’euros, m€ = millier d’euros, Md€ = milliard d’euros.
  • Nano cap, micro cap small cap, mid cap, large cap. Répartition des entreprises par classe de capitalisation boursière = nano capitalisation (<50 M€), micro capitalisation (50-300 M€), petite capitalisation (300 M€ – 2 Mds€), moyenne capitalisation (2-10 Mds€), grande capitalisation (>10 Mds€).
  • CEO = chief executive officer = DG = directeur général.
  • CFO = chief financial officer = DAF = directeur administratif et financier.
  • IH = forum de discussion des “Investisseurs Heureux” : www.devenir-rentier.fr.
  • IF = blog de l’Investisseur français.
  • Daubasses = groupe d’investisseurs value qui gère un site web, propose une lettre mensuelle et diverses info payantes. Par extension, une daubasse désigne une société value de qualité souvent médiocre mais peu chère. Les Daubasses ont aussi imprimé un vocabulaire à la communauté française value comme VANT ou VANN.

Pour en savoir plus : glossaires sur internet

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  1. Voir https ://fr.wikipedia.org/wiki/Soldes_intermédiaires_de_gestion. []
  2. Dans tout ce glossaire, on ne tient pas compte des valeurs nettes comptables d’actifs cédés.  []

6 Responses to Glossaire

  1. yihk

    Oui, excusez moi je suis un investisseur principalement value mais pas exclusivement.
    Vous avez une petite faute de frappe dans la définition de l’EV “retranchent min(0, fonds”

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